dimanche 8 février 2015

Piqûre de rappel :Midi Libre du 25 février 2011

Ou :   "4 190 301,14 €uros de pénalité... "attristés"."
-  947,39 €uros par foyer fiscal  -

Midi Libre du 25 février 2011morceaux choisis.
"Emprunts "toxiques" l'ancienne majorité
s'indigne des soupçons à son encontre."

"On est conscient, et les premiers attristés, qu'on (sic) a souscrit des emprunts qui se révèlent nocifs pour la commune. on l'a fait pour dégager des liquidités et finaliser les travaux du gymnase."

L'art de renégocier près de 9 millions d'€uros, dans le seul but, grâce à des reports d'échéances, de dégager 51 087 €uros sur 2007 et 119 692 € en 2008.

"Les conseillers savaient la nature structurée de ces emprunts, personne ne peut dire le contraire. Et on assume."

L'ancienne majorité au secours de Dexia !

L'ancienne majorité et son D.G.S. ont été si bien été informés que dans les annexes du Compte Administatif de 2007 ces deux prêts apparaissent respectivement pour :

4 141 214,41 € et 4 857 000,00 €
comme :     emprunts à taux fixe sur la durée du contrat.

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Roland Beldame, DGS - Jean-claude Bonnafoux 1er Adjoint
Josette Bringues, Henri Viols, en première ligne

C.Q.F.D.


"Ce n'est pas en accusant l'équipe précédente que l'on va résoudre le problème."

Assurément.
Des constatations ont été faites mais aucune accusation n'a été portée contre l'ancienne majorité.
Seule Dexia a été mise en cause (voir "Conseil Municipal du 16 février 2011").
Mais quand il a été question de prendre une décision sur un moratoire limitant à 4,64% le taux que nous entendons payer... les élus issus de l'ancienne majorité ont voté contre !
Comprend qui peut.
A ce jour, une seule chose est sûre, sortir d'un seul de ces deux emprunts entraine une pénalité de :  4 190 304,14 €uros.
Ne perdons pas de vue que ces renégociations ont eu pour objectif avoué de "dégager des liquiditésc'est à dire d'organiser de dérisoires reports d'échéances à hauteur de :
               51 087 € en 2007 et 119 692 € en 2008.

Si nous prenions en compte l'affirmation "les conseillers savaient la nature structurée de ces emprunts", et sachant que les collectivités publiques ont interdition de souscrire tout contrat spéculatif, comment expliquer que ces prêts aient été conclus autrement que par incompétence ?

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