Emprunts Toxiques ... Crédits Toxiques
http://alize2.finances.gouv.fr/communes/eneuro/tableau.php?icom=337&dep=034&type=BPS¶m=0
Je ne vais pas perdre mon temps à répondre a chaque tract des "amis" de Gérard Bouisson.
Ceci sera ma seule réponse à ceux qui n'ont pas conscience de l'état des finances de la commune résultat de leur incompétence.
En suivant le lien ci dessus, vous trouverez les chiffres officiels de la commune et vous jugerez sur pièces.
Je vous recommande :
L'endettement en Euros par habitant
Années VLM Moyenne de la Strate
2000 2171 934
2001 2336 948
2002 2529 790
2003 2756 804
2004 2657 815
2005 2695 816
2006 2571 832
2007 2464 872
2008 2425 892
2009 2030 884
2010 1932 877
Mais un endettement n'est rien si le potentiel fiscal est en proportion
Malheureusement pour Villeneuve :
VLM Moyenne de la Strate
Potentiel fiscal 497 798
Parlons "qualité" de la dette et produit structurés.
50% de la dette est composée de produits structurés dits "toxiques"
Je ne vous referai pas l'historique, mais sachez que la dernière cotation évaluant les dégats fixe à
5 340 000 €
-CINQ MILLIONS TROIS CENT QUARANTE MILLE EUROS-
la seule pénalité de sortie d'un seul de ces crédits.
De quoi être satisfait de sa gestion de la "soit disant dette".
D'autre part je souhaiterais que certains s'interrogent sur les investissements Villeneuvois strictement communaux (hors équipements financés par le conseil général -Collège, équipements sportifs...-, hors subventions, hors TVA récupérée...) et comparent le montant de ceux ci au montant du capital de la dette à fin 2007 ou 2008, peut être s'apercevraient-ils que leur financement, par la grâce des diverses rénégociations, s'y retrouvait en quasi totalité.
Il est facile d'investir quand on ne rembourse pas le capital emprunté !
Depuis 2007 (et malgré les investissements lancés en 2007 qui nous ont contraint à emprunter, en 2008, 1 120 000 d'€),
la dette est passée d'environ 18 000 000 d'€ à 15 000 000 d'€.
Cela signifie de non seulement nous avons financé nos propres investissements mais que nous assumons aussi l'arriéré.
Cordialement,
Pierre Sémat
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