jeudi 1 mars 2012

J'avais juré que l'on ne m'y reprendrait plus...


Mais bon... puisque je me suis aventuré sur un terrain que je voulais éviter, autant aller au bout de mon propos.

D'aucuns font l'amalgame entre la "soit disant dette" et l'embauche d'un Chef de Cabinet, et je me permet ici de leur répondre.

Lors du précédent conseil municipal, j'ai bien aimé l'attitude de Monsieur Bernard Deau qui a simplement dit qu'il jugerait sur pièce si l'action au service de la Commune du chef de Cabinet justifiait la dépense liée à cette embauche, mais tous n'ont pas son pragmatisme.

Je souhaiterai, pour une meilleure analyse, que l'on ne mettre en parallèle que des dépenses similaires, mais puisque cela semble être l'usage...

La faute de gestion liée à la conclusion de prêts structurés par l'ancienne municipalité
(dans les pas de Monsieur Gérard Bouisson)
peut être, à ce jour,
chiffrée à :              5 340 000 € de pénalité pour l'un des prêts
et "seulement" à    1 055 000 € de pénalité pour le second

La différence s'expliquant par le fait que nous avons pu, grâce aux négociations que nous avons entreprises "sécuriser" partiellement un des prêts.

Soit                        6 395 000 € de pénalités réclamés par Dexia afin de revenir à la situation sécurisée d'avant la renégociation de 2007.

Ou... 133 années de coût salarial d'un chef de cabinet !
et sans aucune contrepartie d'un quelconque service travail au bénéfice de la commune.


Bien cordialement,  

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